Hassan El Glaoui, Marrakech 1924, ne voulait pas se former à l’école des beaux arts de Paris, par timidité probablement. IL choisit alors d’autres lieux pour apprendre la peinture, à savoir l’Atelier de Jean Souverbie, et surtout celui d’Emilie Charmy.
Le retour au Maroc en 1965, a réconcilié Hassan El Glaoui avec ses origines. IL a depuis réussi à magnifier les cavaliers marocains, parce que son histoire familiale en est liée, et que la bravoure, dont dépend la valeur de l’homme, tenait dans la possession du plus valeureux des chevaux présents dans les confrontations guerrières ou amicales. Sa seconde qualité, qui explique aussi son exceptionnelle originalité, est sa formation de peintre fauve et donc impressionniste.
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