Les scènes de Mawazine se succèdent et ne se ressemblent pas. De stars en stars, Al Jarrau, Majda Roumi, Elissa, Mika, le festival égrène depuis vendredi dernier ses immenses artistes venus des 5 continents, célébrant ainsi la diversité et la beauté des rythmes du monde. Mais le plus beau reste à venir.
Des «pointures» internationales, américaines, européennes et arabes figurent encore à l'affiche de cette 10e édition particulièrement prestigieuse, qui n'a rien à envier à bien des festivals de renommée organisés à travers le monde.
Hassan El Glaoui, Marrakech 1924, ne voulait pas se former à l’école des beaux arts de Paris, par timidité probablement. IL choisit alors d’autres lieux pour apprendre la peinture, à savoir l’Atelier de Jean Souverbie, et surtout celui d’Emilie Charmy.
